La police allemande n’a « aucune idée » de qui vient en Allemagne et n’a pas été capable d’enregistrer 90 pourcent du torrent non-blanc se déversant dans le pays, a averti un syndicat de police allemand, tandis que de nouveux chiffres indique une croissance jusqu’à près de 15.000 envahisseurs par jour.
Dans une interview tranchée avec le service d’informations dpa, le vice-président de Deutsche Polizeigewerkschaft (DPolG) a déclaré que ses collègues étaient « fortement surchargés » du fait de l’invasion, et ne sont plus capables de suivre.
« Nous ne pouvons plus répondre aux larges demandes » a-t-il dit à dpa. « La police fédérale a du cesser d’être présente pour les matchs de football et les manifestations simplement parce qu’elle na pas le personnel. »
D’après Walter, il y a environ 31.000 officiers de police en Allemagne, et du fait de l’étendue de l’invasion faisant suite à l’invitation de Merkel, nombre d’entre eux ont été déployés en dehors du pays pour soutenir l’agence de protection des frontières de l’UE, Frontex.
La frontière avec l’Autriche est particulièrement éprouvante à patrouiller, a-t-il poursuivi. Il y a au moins 2.000 officiers en action en permanence, quatre fois plus que la normale.
Ils ont été déployés à la mi-septembre, après que les autorités allemandes, réalisant l’étendue de l’invasion déclenchée par le régime traître de Merkel, ont introduit ce qui étaient supposés être des contrôles « temporaires » à la frontière autrichienne.
Il n’a jamais été expliqué comment ces « contrôles de frontières temporaires » devaient arrêter l’invasion, puisque les non-blancs arrivant à la frontière allemande pouvaient tout de même rentrer, qu’ils aient des papiers ou non. L’idée était, en revanche, d’au moins les faire enregistrer par la police avant qu’ils n’entrent dans le pays.
Ce plan, comme l’a admis Walter, s’est effondré face au simple nombre de non-blancs qui ont pris d’assaut la frontière, cherchant à parasiter les contribuables allemands (et ultimement, de l’ensemble de l’UE).
Walter a admis que sous ces conditions, des « contrôles de frontières sensés ne sont pas possibles ».
« Les officiers ont été rapidement incapable d’enregistrer tout les chercheurs d’asile, et ils n’ont réussi que dans dix pourcent des cas. Les autres franchissent la frontière sans être enregistrés. En ce moment, nous n’avons pas idée de qui vient dans ce pays. Tout cela a peut avoir avec un vrai travail de police. »
Une estimation des quantités entrant en Allemagne peut être obtenue des totaux d’invasions à la frontière austro-slovène.
D’après une information dans le journal autrichien Kleine Zeitung, le 30 octobre, quelques 8000 envahisseurs ont franchi la frontière à Spielfeld, et ont été emmenés en bus vers la frontière allemande. 2700 de plus étaient dans des tentes de traitement à la frontière pour entrer depuis la Slovénie, tandis que 1600 autres attendaient dans la ville slovène de Šentilj.
2000 autres étaient attendus dans la soirée, portant le total du jour à plus de 14.000.
A ce rythme, près d’un demi-million d’envahisseurs entreraient par mois, dépassant encore toutes les estimations. Même s’il y a en effet des variations journalières, une simple moyenne de 10.000 par jour rendrait déjà toutes les estimations précédentes caduques. Nous signalions déjà ce phénomène de réévaluation constante au début du mois, même si pour la communication, les médias semblent s’être fixés sur « 800.000 à 1.00.000 », alors que ces chiffres sont déjà quasiment dépassés.