Jusqu’à 4.500 envahisseurs non-blancs affluent chaque jour en Grèce par les îles en mer Egée orientale, même en plein dans l’hiver européen – et un nombre croissant vient du Maroc et d’Algérie.
De plus, il est aussi devenu évident que la Turquie n’a absolument rien fait pour faire cesser le flux, en dépit des promesses de son gouvernement [ndt : en fait, même en dépit d’un accord avec l’UE pour leur verser trois milliards d’euros]. les faits à propos de l’invasion qui se poursuit ont été révélés par le ministre grec de la politique migratoire Johna Mouzala, dans deux récents entretiens accordés aux médias grecs.
Dans le premier, transcrit par le service d’information Eleftheros Typos, il déclare que plus d’un million d’envahisseurs non-blancs sont entrés en Grèce ces six derniers mois1, et qu’en dépit des forts vents et de la météo hivernale, le flux d’envahisseurs a augmenté [en comparaison avec printemps et été], et non décru.
Mouzala a dit que la Grèce ne pourrait pas héberger « ces dizaines de milliers de gens qui arrivent chaque semaine sur les îles » et que le flux ne peut pas être contrôlé par la seule Grèce.
De plus, a-t-il dit : « Nous avons un nouveau phénomène : marocains et algériens viennent en des nombres toujours croissants« .
Bien qu’il n’y ait ni guerre ni conflit dans ces pays, il est clair que les non-blancs ont vu comme il est facile pour leurs congénères d’envahir l’Europe occidentale pendant que ses dirigeants hésitent, et ils ont décidé de saisir l’opportunité de pouvoir eux aussi parasiter les contribuables européens.
« Ces gens devront nécessairement être renvoyés chez eux », a ajouté le ministre.
Dans le second entretien, publié par le Greece Tribune, Mouzala a révélé que la Turquie ne remplissait aucun de ses précédents engagements avec l’Union Européenne, et n’a rien fait pour endiguer le flux. « Ce problème doit être réglé à la côte turque », a-t-il dit.
En octobre 2015, l’Union Européenne a offert au gouvernement turc 3 milliards d’euros pour « améliorer le soin des réfugiés » en Turquie, et pour les y garder.
Les turcs ont aussi négocié la possibilité de voyager en Europe sans visa à partir de 2016, et la reprise des négociations, jusque là gelées, sur l’adhésion de la Turquie à l’UE.
1. Les chiffres de Mouzala sur le nombre d’envahisseurs entrés en Europe contredisent aussi ceux mis en avant par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, qui a a affirmé que le nombre total de non-blancs ayant envahi l’Europe par la Grèce pour l’ensemble de l’année 2015 était de 851.319.
L’estimation de Mouzala d’un million sur les seuls six derniers mois semblent bien plus correcte, étant donné les nombres arrivés en Allemagne (plus de 1,5 millions) et ceux dispersés dans le reste de l’Europe occidentale et nordique. [ndt : je ne rapporte d’ailleurs plus les chiffres de l’HCNUR pour cette raison : quel intérêt de signaler des chiffres bidonnés ?]