Censuré sur toutes les chaines TV et radio, aucun éditeur n’acceptant de le publier après avoir reçu de sérieuses menaces de sos-racisme et de sa branche armée « Daesh », le célèbre roman paru en 2012 « Malika et le saucisson magique » Bon appétit!
AVERTISSEMENT
Ce feuilleton peut vous faire percevoir une réalité qui vous est insupportable. Consultez l’UMP et tous les partis de gauche en cas des symptômes suivants :
- Craintes identitaires face à l’immigration de masse-qui-n’existe-pas.
- Refus de la sacro-sainte discrimination positive qui ne saurait être une discrimination anti-Français (en aucun cas !)
- Rejet de l’islam en France, parce que l’islam constitue évidemment l’une des racines de notre beau pays depuis au moins… 30 ans avec un apport culturel que tout le monde nous envie (mosquées, abattoirs hallal, burqa etc.)
- Refus de métissage car le métissage est l’exacte anti-thèse du racisme e).
- Etc.
Des interrogatoires menés par l’Oberführer Sarkozy seront organisés après lecture de ces textes immondes. Des séances de « Plus belle la Vie » sont fortement recommandées (36 heures sans pause pipi est un minimum). Coupez Internet, seul espace échappant (encore) au contrôle de notre magnifique démocratie.
Et surtout !! Votez UMPS !!
I° SATAN L’HABITE
En ce jour de Mai maussade, annonciateur d’un été pluvieux et froid dû au réchauffement climatique, Malika Ben Fharin venait de finir son cours d’arabo français dans sa classe de Cm2 de l’école Malik Oussekine à Morluilé.
Elle y enseigne depuis 3 ans cette matière ainsi que l’histoire glorieuse de l’Algérie après avoir obtenu ce poste dans le cadre de la grande loi de repentance des injustices coloniales voulue par le Président Ben Sarko. Ainsi, depuis et d’office il est attribué le titre de master es éducation à toute personne de confession musulmane avec priorité d’embauche.
Son cours s’était passé comme d’habitude, sans souci particulier, ses élèves étant studieux et très férus de culture arabo musulmane. Bien que la réforme du mieux vivre ensemble l’y autorisa elle ne portait pas le voile durant ses cours par respect disait elle pour les bâtards de roumis de sa classe. Ceci lui avait valu les reproches de ses collègues syndiqués, toujours prompts à manifester pour la défense de la nouvelle laïcité. Elle était affairée à ranger ses affaires de cours, ses stylos, son coran portable, sa charia électronique, et les photos dédicacées du Président Bouteflika. Alors qu’elle voulait les mettre dans son bureau elle se rendit compte que le tiroir avait du mal à s’ouvrir. Elle fut surprise car elle ne souvenait pas avoir laissé beaucoup de choses la fois précédente, et elle commençait à pester contre la femme de ménage malienne embauchée dans le cadre de la politique de réconciliation avec les peuples soumis à l’esclavage. –
– Maudits soient ces kouffar de nègres ; Ibn Khaldun le grand penseur avait bien raison quand il disait les nations nègres sont en général soumises à l’esclavage parce que les noirs sont une humanité inférieure plus proche des animaux stupides. C’est décidé, dès la semaine prochaine je ferai mon cours là dessus. Avec ça je vais être en retard pour la soirée Chorba organisée par la municipalité.
Après moult difficultés enfin elle réussit à ouvrir le tiroir récalcitrant, et avec horreur elle découvrit l’objet qui le bloquait, il était long et ferme, légèrement blanchâtre. Il ne pouvait y avoir de doutes, c’était un saucisson, non pas une vague saucisse de volaille hallal comme l’oblige la directive européenne Bahr Niais, non ! Un authentique saucisson pur porc.
Une salaison rare car autorisée à la vente dans des établissements spécialisés et avec une autorisation spéciale de la division du respect de la diversité des services préfectoraux.
A la vue de cette charcuterie infâme Malika eut une réaction naturelle de rejet, pourtant au bout de quelques secondes il s’accomplit en elle une étrange transformation.
Tout en elle aurait dû la révulser à cette vue odieuse. Tel n’était pas le cas ; bien au contraire. Elle restait figée, fascinée par la monstruosité culinaire.
Puis une force intérieure sembla lui commander de s’en saisir, et dans un dernier réflexe de lucidité elle marmonna
– Noooonn je ne peux, c’est insulter le prophète…
Mais rien n’y fit cet appel maléfique lui commandait de s’emparer de l’aliment honni.
Quel était ce maléfice ? Quelle était cette puissance occulte mécréante ? Malika n’avait plus les capacités cérébrales pour réagir et lutter.
Brutalement elle se saisit du saucisson. Son visage s’était transformé. Elle si douce si avenante comme le sont les bonnes musulmanes, un rictus diabolique s’y lisait, ses yeux étaient injectés de désir érotique, elle était comme une tigresse avec sa proie entre ses griffes.
Elle prit le couteau fourni par son administration, en effet depuis les grandes réformes du président Ben Sarko, chaque enseignant dispose d’un couteau tranchant pour dans les cas disciplinaires d’urgence couper un doigt à l’élève récalcitrant.
Lentement et méthodiquement elle découpa une rondelle du saucisson, et sans hésiter porta à ses lèvres lippues le met diabolique, et elle l’ingéra alors avec délectation et gourmandise. Le résultat fut rapide, son corps fut pris de tremblement, puis soudainement tout en dégrafant son chemisier elle proféra des propos insoutenables à haute voix.
– Hummm c’est bon, comment ai je pu ignorer cela pendant des années !! Maudit soit le coran et son prophète.
Après avoir prononcé ces paroles blasphématoires, son regard se fit plus désirable et de braise encore. Elle caressa langoureusement la cochonnaille diabolique.
– Hummm tu m’as l’air bien long et dur, pas comme mon imbécile de mari Farid, je crois que ton usage n’est pas qu’alimentaire, tu es là pour donner du plaisir, ohhh ouiiiiii !!!!
C’est alors qu’une scène indescriptible se déroula dans cette pièce vouée à la formation morale des enfants, et heureusement personne n’en fut témoin. Une véritable bacchanale se déroulait entre ces murs sacrés.
Le saucisson était désormais un objet de stupre et fornication, ce fut un va et vient insane et incessant, et au bout de trop longues minutes de frénésie pornographique un puissant cri de jouissance innommable déchira la quiétude d’un quartier sans histoires.
– Oouiiiiiiiiii c’est troooooop boooooonnnn… à morrrttt Mahomet !!!!!
Telles furent les dernières paroles horribles entendues par les voisins de l’école où officiait Malika. Un témoin alerté par ces hystériques hurlements eu juste le temps d’apercevoir une motarde moulée avantageusement par sa combinaison de cuir s’éloigner rapidement de ces lieux sur son destrier motorisé.
L’histoire était en marche ! ! !
Chapitre suivant (Prochainement): « Le Préfet Du Gland »